Et c’est pour qui ?
Pour celles et ceux qui s'intéressent aux grandes tragédies humaines, aux questionnements sur le pouvoir, la famille et la société, et qui seraient à la recherche d’une version audacieuse et contemporaine de Le Roi Lear … Dès 13 ans.
Un esprit de troupe souffle sur ce Roi Lear. Mathieu Coblentz, entouré de sept comédien-ne-s et musicien-ne•s et de son équipe de créateurs, s’empare de ce texte immense pour livrer une version épique de la tragédie shakespearienne. Dans un univers esthétique empli de démesure, où se côtoient splendeurs baroque et cabaret glam rock, les acteurs et actrices incarnent l’histoire de ce roi ayant semé le chaos par orgueil.
Sur le plateau habité par une scénographie à la fois simple et monumentale, les hauteurs éclairent les relations de pouvoir et de domination, les châssis conçus comme des tableaux, sont le décor du palais dans lequel les familles de Lear et de Gloucester se déchirent pour obtenir leurs droits à l’émancipation et leur part de puissance.
Quand les masques tombent, la trahison et la folie s’invitent sur scène, révélant des interrogations centrales : que faire devant l’héritage de domination et d’emprise des pères ? Comment accueillir démence et vieillesse ? La jeunesse doit-elle dévorer le monde ancien pour se déployer à son tour ?
La nouvelle traduction proposée par Emmanuel Suarez restitue la richesse et la folie de la langue shakespearienne, tout en recentrant l’intrigue sur une dizaine de personnages. Les tensions familiales, les conflits intergénérationnels et les luttes pour l’égalité mis en lumière résonnent ici avec les préoccupations actuelles, illustrant le passage d’un monde régi par des structures archaïques à une modernité en quête de renouveau.
Plusieurs siècles après l’écriture du Roi Lear, les mécanismes de l’être humain semblent répondre aux mêmes pulsions. Abominables au premier abord, les personnages sont regardés par le prisme de l’ambiguïté par Mathieu Coblentz. En reflétant le visage déformé de notre société, leur fonction ne serait-elle pas finalement de nous mettre en garde contre l’avidité et la monstruosité naissant de l’exercice du pouvoir et de toute domination ?
Pour celles et ceux qui s'intéressent aux grandes tragédies humaines, aux questionnements sur le pouvoir, la famille et la société, et qui seraient à la recherche d’une version audacieuse et contemporaine de Le Roi Lear … Dès 13 ans.
Un esprit de troupe souffle sur ce Roi Lear. Mathieu Coblentz, entouré de sept comédien-ne-s et musicien-ne•s et de son équipe de créateurs, s’empare de ce texte immense pour livrer une version épique de la tragédie shakespearienne. Dans un univers esthétique empli de démesure, où se côtoient splendeurs baroque et cabaret glam rock, les acteurs et actrices incarnent l’histoire de ce roi ayant semé le chaos par orgueil.
Sur le plateau habité par une scénographie à la fois simple et monumentale, les hauteurs éclairent les relations de pouvoir et de domination, les châssis conçus comme des tableaux, sont le décor du palais dans lequel les familles de Lear et de Gloucester se déchirent pour obtenir leurs droits à l’émancipation et leur part de puissance.
Quand les masques tombent, la trahison et la folie s’invitent sur scène, révélant des interrogations centrales : que faire devant l’héritage de domination et d’emprise des pères ? Comment accueillir démence et vieillesse ? La jeunesse doit-elle dévorer le monde ancien pour se déployer à son tour ?
La nouvelle traduction proposée par Emmanuel Suarez restitue la richesse et la folie de la langue shakespearienne, tout en recentrant l’intrigue sur une dizaine de personnages. Les tensions familiales, les conflits intergénérationnels et les luttes pour l’égalité mis en lumière résonnent ici avec les préoccupations actuelles, illustrant le passage d’un monde régi par des structures archaïques à une modernité en quête de renouveau.
Plusieurs siècles après l’écriture du Roi Lear, les mécanismes de l’être humain semblent répondre aux mêmes pulsions. Abominables au premier abord, les personnages sont regardés par le prisme de l’ambiguïté par Mathieu Coblentz. En reflétant le visage déformé de notre société, leur fonction ne serait-elle pas finalement de nous mettre en garde contre l’avidité et la monstruosité naissant de l’exercice du pouvoir et de toute domination ?