Jeanne Guien décrit ce moteur du capitalisme qui, à partir du goût, du désir du neuf et de l’inédit, crée un univers imaginaire dont la « nouveauté » (la « néophilie ») constitue une valeur et un but en soi. Mais cette dynamique nous conduit à une consommation effrénée. Les conséquences : toujours plus de déchets, de destructions et de violences sociologiques.
Jeanne Guien, docteure en philosophie, chercheuse indépendante
Jeanne Guien, docteure en philosophie, chercheuse indépendante